mardi 3 juillet 2012

L'Histoire en crise


D'une histoire nous en inspirons une autre. L'histoire que nous composons au jour le jour est liée aux souvenirs enregistrés par notre perception immédiate et stockés par notre mémoire. La teneur de ces souvenirs fluctuent avec le temps. Le souvenir n'est pas une donnée exacte. Chacun aura une manière différente de retranscrire un évènement passé avec plus ou moins d'altération. Nous sommes imprégnés culturellement, de légendes et d'idées préconçues. Chaque culture a ses symboles particuliers.

Prenons l'exemple d'une photo. Un même évènement peut être rendu de mille et une manières, selon la perspective du photographe, les réglages de l'objectif. La composition ne sera pas la même, tout comme une peinture à un degré plus "objectif". On ne saisit pas la réalité, mais une réalité selon son prisme perceptif. La qualité du photographe est de saisir un instant "subjectivement" beau selon son angle d'approche.

On peut penser différemment une même chose. On se construit tous des valeurs de jugement, des références. Notre référentiel est familial, social et environnemental.

Regardons la crise économique actuelle :

On y voit pêle-mêle :
- Privatisation des banques et des exploitations énergétiques.
- Dérégulation massive.
- Contrôle par organismes financiers privés. Les banquiers s'enrichissent entre eux sans aucune considération pour qui ou quoi que ce soit.

Une crise systémique aussi absurde et dévastatrice que la crise de 1929. Des hommes sans travail et affamés alors que tous les moyens de production sont intacts. La guerre a été une aubaine "providentielle".

Je ne comprenais pas que la crise immobilière puisse toucher une île comme l'Islande. M'étant rendu sur place, je n'y ai vu que de l'urbanisation éparse au milieu de grandes terres vierges, des fermes.

Cette colonisation du monde politique par les membres de la finance est ancienne. L'abolition de la monarchie a permis à la démocratie de laisser ses systèmes s'installer. L'économie a toujours fait pression sur les rois, mais l'inverse était aussi vrai.


 

Nous étions sujets d'hommes souvent tyranniques et égotiques, mais être sujets d'un système impersonnel et dérégularisé est-il mieux ? Les représentants gouvernementaux ne sont plus que les agents des lobbies. Les rois de la finance seront-ils les rois de demain ? Un roi en vaut-il un autre ? Certainement pas. Qu'espérer d'un leader qui aurait sacrifié son peuple pour mieux le dominer ? L'Humanité a besoin d'une vision qui dépasse la seule course au profit. Un leader doit être l'incarnation de cette vision. Notre rêve ne s'arrête pas à faire partie d'une élite intouchable réfugiée dans une tour d'ivoire. Il est possible de progresser ensemble et pas au détriment des uns et des autres.

Voici un texte récapitulatif qui circule sur le net et dont j'ignore la source exacte :
"Sans nouvelles d’Islande : Pourquoi ? 
Si quelqu’un croit qu’il n’y a pas de censure actuellement, qu’il nous dise pourquoi on a tout su au sujet de ce qui se passe en Egypte, en Syrie ou en Lybie et pourquoi les journaux n’ont absolument rien dit sur ce qui se passe en Islande : 
En Islande,  
– le peuple a fait démissionner un gouvernement au complet, 
– les principales banques ont été nationalisées et il a été décidé de ne pas payer la dette qu’elles avaient contractée auprès de banques de Grande Bretagne et de Hollande, dette générée par leur mauvaise politique financière 
– une assemblée populaire vient d’être créée pour réécrire la Constitution. Et tout cela, pacifiquement.Toute une révolution contre le pouvoir qui a conduit à cette crise.Voilà pourquoi rien n’a été publié pendant deux ans.Que se passerait-il si les citoyens européens en prenaient exemple ?
Brièvement, voici l’histoire des faits : 
– 2008 : La principale banque du pays est nationalisée. La monnaie s’effondre, la bourse suspend son activité. Le pays est en banqueroute. 
– 2009 : Les protestations citoyennes contre le Parlement font que des élections anticipées sont convoquées et qu’elles provoquent la démission du Premier Ministre et, en bloc, de tout le gouvernement. La situation économique désastreuse du pays persiste. Par le biais d’une loi, il est proposé à la Grande Bretagne et à la Hollande le remboursement de la dette par le paiement de 3.500 millions d’euros, montant que paieront mensuellement toutes les familles islandaises pendant les 15 prochaines années à un taux d’intérêt de 5%. 
– 2010 : le peuple descend à nouveau dans la rue et demande que la loi soit soumise à référendum.En janvier 2010, le Président refuse de ratifier cette loi et annonce qu’il y aura une consultation populaire.En mars, le référendum a lieu et le NON au paiement de la dette remporte 93% des voix.Pendant ce temps, le gouvernement a entamé une investigation pour régler juridiquement les responsabilités de la crise.Les détentions de plusieurs banquiers et cadres supérieurs commencent. Interpol lance une enquête et tous les banquiers impliqués quittent le pays. Dans ce contexte de crise, une assemblée est élue pour rédiger une nouvelle Constitution qui reprend les leçons apprises de la crise et qui se substitue à l’actuelle qui est une copie de la constitution danoise. Pour ce faire, on a recours directement au peuple souverain. On élit 25 citoyens sans filiation politique parmi les 522 qui se sont présentés aux candidatures. Pour cela, il faut être majeur et recueillir le soutien de 30 personnes. 
– L’assemblée constituante commence ses travaux en février 2011 afin de présenter, en partant des avis collectés dans les diverses assemblées qui ont eu lieu dans tout le pays, un projet de Grande Charte. Elle doit être approuvée par l’actuel parlement ainsi que par celui qui sera constitué après les prochaines élections législatives.
Voici, en bref, l’histoire de la Révolution Islandaise : 
– Démission en bloc de tout un gouvernement 
– Nationalisation de la banque 
– Référendum pour que le peuple puisse se prononcer sur les décisions économiques fondamentales 
– emprisonnement des responsables de la crise
– réécriture de la constitution par les citoyens"
Une faille socio-économique en Islande.

Je me souviens surtout des médias qui critiquaient l'inconscience des islandais qui refusaient de payer la dette absurde d'un gouvernement absurde.

« Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission des devises et du crédit soit restoré au gouvernement comme sa responsabilité la plus évidente et sacrée, toute référence à la souveraineté du parlement ou à la démocratie est inutile et futile. […] Une fois qu’une nation s’est séparée du contrôle de son crédit, les gens qui font les lois importent peu. […] Les usuriers une fois au pouvoir détruiront la nation. »

William Lyon Mackenzie King (1874-1950), Premier Ministre du Canada de 1921 à 1930 et de 1935 à 1948




« Il est une chance que les gens de la nation ne comprennent pas notre système bancaire et monétaire, parce que si tel était le cas, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin. »


Henry Ford (1863-1947)




Le secteur financier se concentre dans des firmes géantes indispensables à son fonctionnement. Les marchés financiers ne sont plus cloisonnés pour éviter à l'ensemble du bateau de tanguer au moindre mouvement d'envergure. Liberté d'escroquer ses clients, de falsifier ses comptes, d'acheter n'importe qui et de placer n'importe qui.

Donner de la valeur à ce qui n'en a pas. Spéculer sur l'art contemporain. Monter artificiellement la côte d'un artiste pour créer une valeur. Si l'artiste atteint un certain prix, il devient un investissement à suivre. Faire croire par un effet de masse et l'affichage d'une valeur, qu'une chose a un prix. On transforme du plomb en or par simple suggestion. Pourquoi ne pas acheter du plomb au prix de l'or si tout le monde en achète ? Ce sont les vendeurs de plomb qui se frottent les mains. Tous les lobbies et monopoles fonctionnent sur ces schémas. Le lobby énergétique nous fera toujours croire qu'il n'y a aucune alternative sérieuse au pétrole. L'or noir n'a de brillant que sa référence flatteuse.

A titre d'exemple personnel, j'avais boursicoté à 19 ans en 2000 avec un capital prêté de 1500 euros. Le premier mois j'avais juste investi sur Peugeot en plein boom 206, et avec un effet de levier x5 je suis monté à 600 euros de bénéfice, sans rien faire. 40% d'augmentation de mon capital en 1 mois. La bourse marchait bien à l'époque. Pas de gros risque. Imaginez ce que peuvent bien gagner et magouiller tous les acteurs du système financier global. Toutes ces guerres biaisée par des banques qui composent les règles du jeu à leur convenance.



“Si vous désirez être les esclaves des banques, et payer pour financer votre propre esclavage, alors laissez les banques créer l'argent.”
Josiah Stamp (1880-1941), Gouverneur de la Banque d'Angleterre, 1920



Imaginez un maître de jeu qui imposent tous ses abus aux joueurs. Il restreint leur liberté à la sienne. Ils ne feront que ce que le maître permettra de faire. Le maître n'anime plus un jeu, il soumet les autres à sa volonté. Il crée son univers et impose ses règles. Le seul à y trouver son compte sera le maître. Le maître contrôle l'argent, l'argent contrôle tout. Il a réussi à donner tant d'importance à l'argent, qu'il en devient indispensable. Nous sommes devant un maître de jeu qui dépouille ses joueurs et les confronte à des monstres invincibles. Comme un chien affamé devant qui on balance un os, on asservit la population. Considérons qu'il y ait trop de chiens à nourrir et contrôler. Ils ne peuvent plus vivre dans la nature de manière autonome. Ils n'en sont plus aptes et la nature a disparu pour céder la place à une urbanisation stérile. On pille les réserves et on s'isole, le temps qu'ils s'entre-dévorent. Le calme revenu, on revient comme des sauveurs et ne gardons que les plus dociles, tout en euthanasiant les chiens errants. Les chiens recueillis ne seront que trop heureux d'avoir enfin la sécurité d'un foyer. Le maître de jeu est ravi, il pourra animer la suite du jeu à sa convenance.

Le chien a un statut privilégié dans la ferme. Il aide le maître à parquer le bétail et sert de compagnie. Le bétail ne sert qu'à nourrir le maître et ses chiens. Je préfère l'idée d'un village à celle d'une ferme géante industrielle. La concurrence et la guerre du profit ne profitent pas à tous.

Dans l'idée dans un changement de règles, regardons ce que devient une ville moderne en proie à l'isolement et au chaos :
"Je suis de Bosnie, et comme vous le savez, c'était l'enfer la bas de 1992 a 1995. Pendant 1 an, j'ai vécu et survécu dans une ville de 60 000 habitants sans électricité, sans pétrole, sans eau courante, sans services traditionnels de distribution de nourriture et de consommables, et sans aucune organisation gouvernementale.
Nous avons démonté toutes nos portes, l'encadrement des fenêtres des maisons abandonnées, notre parquet...et j'ai aussi brûlé la totalité de nos meubles pour nous tenir chaud.Beaucoup sont mort de maladies, surtout a cause de l'eau (2 membres de ma famille), nous buvions principalement l'eau de pluie, nous mangions du pigeon et même du rat.La monnaie est vite devenue de la merde...Nous faisions du troc; pour une boite de boeuf tu pouvais avoir une fille pour quelques heures (c'est dur, mais c'était la réalité), je me rappelle que la plupart des femmes qui vendaient leurs corps étaient des mères désespérées. Armes a feu, munitions, bougies, briquets, antibiotiques, pétrole, piles et nourriture... On se battait comme des animaux pour ça. Dans une situation comme celle-la, tout change, et la plupart des gens deviennent des monstres...c'était moche. La force était dans le nombre. Si vous étiez tout seul a vivre dans une maison, ce n'était qu'une question de temps avant d'être pillé et tué... peu importe si vous étiez armé."
Les mensonges d'Etat et la falsification de l'Histoire ne datent pas d'hier. L'Empire romain, en quête de domination et de contrôle, s'est évertué à imposer son modèle. Les nazis s'en voulaient les héritiers. Les russes et les américains ne se sont pas privés de piocher dans leur modèle. Et je ne parle que d'empires occidentaux, sans mentionner l'histoire chinoise et autre.

Les romains se sont appropriés la chrétienté, durant le concile de Nicée en 325, après avoir martyrisé durant des siècles ses membres. C'est davantage une question politique que de foi. Les anciens bourreaux choisissent ensuite les textes à garder et la religion à pratiquer. Légifération religieuse. Quelle confiance peut-on prêter à une telle autorité ? Les dogmes servent un endoctrinement idéologique. Les persécutions subies n'ont pas empêché d'en imposer d'autres. La conscience asservie à un état religieux. Que sait-on de nos origines ? L'Eglise a pesé de tout son poids durant des siècles pour conserver son monopole historique. L'"élite" faisait sa loi et entretenait l'obscurantisme. Le christ adoré n'est qu'une idole pratique. Sa vraie histoire ne s'en tient sûrement pas aux seuls évangiles que l'Eglise a choisis pour transmettre sa parole.

"L'Eglise de Rome n'a jamais pu dire par qui elle avait été fondée : ses origines restent ensevelies dans une obscurité profonde. La seule chose qu'on puisse affirmer avec une parfaite certitude, c'est que l'apôtre Pierre n'en fut pas le fondateur."
"Si donc l’origine de l’Eglise Catholique ne se trouve pas dans les enseignements de Jésus et de Ses apôtres, comme mentionné dans le Nouveau Testament, quelle est la vraie origine de l’Eglise Catholique ?"
"On ne connaît l'histoire des chrétiens du premier siècle que par les Actes des Apôtres et certaines épîtres de Paul, textes produits par les premières communautés chrétiennes. Un historien comme Étienne Trocmé relève les insuffisances de cette documentation « qui ne couvre qu'un champ limité et n'est utilisable qu'après une sérieuse critique de son contenu souvent déformé par les partis pris et par les exigences de l'apologétique ».Très tôt, l'institution cléricale s'est battue pour imposer sa seule vision politico-culturelle. Les gnostiques et autres courants chrétiens furent éradiqués par le nouveau dogme romain. La liberté de pensée est une notion qui scintille brièvement dans les courants de l'Histoire, tel un phare lointain."
La véritable origine des Evangiles est ouverte à de fortes cautions :
http://bichau.canalblog.com/archives/2011/01/06/20055207.html

Si l'expression "paroles d’Évangile" perd de son sens, il y a aussi le mythe christique que l'on retrouve dans de nombreuses histoires précédant l'arrivée du petit Jésus. De Prométhée, Dionysos, Mithra, Orphée, etc, notre cher J-C a de la concurrence historique, à défaut d'avoir une existence clairement déterminée.
http://www.webnietzsche.fr/mythes.htm
Si Jésus il fut, sa véritable histoire aurait-elle été transformée et instrumentalisée par l'Empire romain ? Après avoir martyrisé les chrétiens durant des siècles, ont-ils soudain vu un intérêt à la récupération de cette religion  marginale ? Ou peut-être sont-ils devenus aimants et compatissants, et ont-ils décidé, de façon totalement altruiste, de se convertir et de diriger eux-mêmes le culte chrétien ? Ils n'ont pourtant pas oublié leurs petits plaisirs de jeux d'esclaves dans les arènes. La chrétienté ne me semble pas les avoir adoucis et s'est soudée à eux durant leur déclin.


La chute de l'Empire romain... Cette histoire n'a jamais été claire pour moi.
"Dernièrement, quelques historiens s'accordaient pour rejeter le terme "chute" (qu'ils peuvent ou pas différencier du "déclin"). Ils notent que le transfert du pouvoir d'une bureaucratie centrale impériale à des autorités plus locales est à la fois progressif et guère perceptible par le citoyen moyen.Henri Pirenne publia la "Thèse de Pirenne" en 1920 qui reste influente à ce jour. Elle soutient que l'Empire continua d'exister, dans une forme quelconque, jusqu'au temps des conquêtes arabes au viie siècle qui perturbèrent les routes du commerce méditerranéen, menant à un déclin de l'économie européenne. Cette théorie présente l'ascension du Royaume Franc en Europe comme une suite de l'Empire romain, et ainsi légitimise le couronnement de Charlemagne, premier empereur romain germanique comme une continuation de l'État impérial romain. 
Les historiens de l'Antiquité tardive, terme inventé par Peter Brown, contestent l'idée même de chute de l'Empire romain. Ils y voient une « transformation » progressive, constatant une continuité entre le monde classique et le monde médiéval, notamment sur le plan de la culture. Ainsi, il y eut une évolution graduelle sans rupture claire."
L'assimilation de la chrétienté et son contrôle étaient-ils une amorce de transformation d'un Empire en un autre ? Serions-nous simplement la continuité de l'Empire romain ? Comme l'Eglise de Rome s'est appropriée des cultes païens en les travestissant sous les traits de saints imaginaires ou d'amalgames opportunistes ? Collections spirituelles prêt-à-porter selon les modes et les saisons. Une christianisation de masse. Christianisation et romanisation.



L'Eglise périclite consciemment et silencieusement en occident, sans aucun effort notable pour changer cet état des choses. Serait-elle en train de préparer sa chute et sa métamorphose ? Tel un serpent, l'Eglise de Rome mue et abandonnera sa peau usée pour filer vers de nouveaux horizons.
L'Eglise de Rome anticiperait-elle le désaveu de sa propre religion ?

Parlons de l'étrangeté iconographique de certains lieux de culte chrétien. Prenons le cas de la cathédrale de Narbonne.



On peut en rire et trouver normal une telle décoration dans un lieu saint. Il ne faut pas oublier pour autant que l'Eglise a récupéré beaucoup de lieux de culte païen en y installant ses cathédrales. Des carrefours énergétiques. Elle s'est aussi appropriée beaucoup de personnages et de symboles en les assimilant à sa sauce, jusqu'à ce qu'on oublie les cultes originels. Les grecs et les romains faisaient ça aussi. Transformation et actualisation religieuse de cultes ancestraux. Nombre de saints ne sont que des façades pour des personnages plus obscurs et anciens.

Je me suis intéressé au personnage de Marie-Madeleine qui revenait de façon régulière dans plusieurs de mes recherches. Malgré la littérature abondante à son sujet, on ne sait que peu de chose au final. Dans le cas de son culte à Marseille et sa région, on peut voir les adaptations progressives des phocéens à nos jours :

"Le culte à Artémis supplanta largement ceux des autres divinités, et prit une ampleur formidable à Massillia. On peut supposer que cette déesse est issue d'un culte extrêmement ancien voué à Opis ou Oupis... Cette dernière étrange divinité, descendue du ciel emprisonnée dans une gaine étroite jusqu'à la tête, aurait échouée dans un bourbier. On imagine qu'ainsi elle deviendra une "matronne" des profondeurs souterraines. Pour certains chercheurs, ce personnage, à peine féminisé à l'origine, n'était pas du tout pourvu d'une multitude de mamelles mais recouverte... d'écailles très larges et plates jusqu'à la taille. 
Ce n'est que bien plus tard qu'Artémis laissera place à un culte radicalement féminin imposé et symbolisé définitivement par une polymastie généreuse et abondante. Pour le bas du corps la gaine d'écailles deviendra une frise de représentation animale composée de cerfs, taureaux et lions plus propres à être reconnus par les cultes locaux à bases zoophiles. 
Artémis matronne, puis vierge noire avec le temps, sera identifiée à Diane en raison justement des fauves qui semblent l'entourer et au milieu desquels elle semble se complaire. Par ailleurs la première cathédrale de Marseille sera construite sur le vieux temple de Diane et d'Artémis comme en attestent les découvertes faites lors des travaux de terrassements au 19e S. qui permirent la découverte, par Jean-Benoit Tourneyront, d'une cache de plusieurs statuettes votives tant de Diane que d'Artémis en terre cuite blanche et rouge. 
L'Eglise s'empressera de christianiser Artémis en la "baptisant" très vite "Notre-Dame-des-Fauves". Cet étrange parallèle viendrait du fait qu'Artémis anéantissait les créatures monstrueuses... et s'identifiait ainsi à ce qui deviendra, d'une part le mythe de Marthe, légendaire et efficace tueuse de tarasques, et d'autre part de Madeleine se réfugiant au sein de secteurs boisés habités par de redoutables fauves. Le cheminement sera lent, logique, mais inéluctable pour ces chtoniens personnages féminins tant mythologiques légendaires que religieux, jusqu'au surnom de "Bonne Mère" usité avant tout avec bonheur en Provence."
Des barbares ligures qui adoraient leurs dieux par des sacrifices dans le massif de la Sainte-Baume, on est passé à Artémis, déesse phocéenne, à Marie-Madeleine. Certains n'ont pas vraiment oublié les forces étranges des lieux choisis. Il est encore mentionné au XVIIIème siècle dans "Le guide de la Provence mystérieuse" de Jean-Paul Clébert la présence de nombreux rites sataniques dans le massif.

De façon plus simple, il suffit de regarder l'ensemble des chefs de l'Eglise au Vatican. Je n'y vois que des politicards pour la plupart. Sentez-vous l'amour et l'illumination dans leurs regards inquisiteurs ? Ils sont les héritiers directs d'une longue histoire peu reluisante. De là à dire que l'Eglise de Rome n'est qu'un ramassis de satanistes dangereux... incarnés par un pape présentable. Il y a quantité de gens formidables officiant au nom de l'Eglise, qu'en est-il du président et de ses ministres ?

Mais quelle religion peut se targuer d'une histoire propre non entachée par des responsables indignes ? Religions, nations, des entités culturelles sujettes à de nombreux écarts et folies collectives. Les hommes de coeur faisant le lien entre le peuple et le Vatican ne sont qu'une façade pratique. L'Eglise abandonne silencieusement ses ouailles en Europe. Quels sont ses plans ? La plupart des églises sont fermées. Les prêtres naviguent entre quantité de paroisses et cérémonies. Ma famille a eu du mal à en trouver un disponible pour la messe de funérailles de mon grand-père. Je ne critique pas la foi, je critique ceux qui jouent de notre bonne foi.

Le contrôle de l'Histoire et de ce qu'on en dit. Les vainqueurs écrivent l'histoire, dit-on. Plus près de nous, nous avons les fortes suspicions sur Pearl Harbor et les attentats du 11 septembre, entre-autre. Créer une histoire quand on contrôle les médias est aisé. Elaborer un fait suffisant pour justifier une action. On s'invente un prétexte valable, comme les soi-disant armes de destruction massive irakiennes. La crise économique est un fait, mais de quelle teneur ?

La rigueur de l'Eglise romaine a permis l'essor de notre civilisation autour d'une idéologie commune. Nous sommes tous endoctrinés dans cette idéologie. Qu'on se dise athée ou autre, nous avons grandi dans cette culture. Nos référents et nos symboles sont les mêmes. L'Eglise s'est occupée de l'éducation d'innombrables générations. Je ne juge pas la communauté chrétienne dont je fais partie mais l'institution d'Etat qui l'a endoctrinée. La seule vision de l'histoire est celle qu'on enseigne. Nous ne connaissons nos origines personnelles qu'à travers les dires de nos ancêtres. Et nous ne savons plus grand chose de nos ancêtres. L'Etat s'est substitué à la transmission familiale. Il nous raconte des histoires. Prenons l'exemple du 11 septembre. Les jeunes américains sont convaincus que les vilains terroristes les menacent et que l'Amérique doit envahir des pays étrangers pour sa sécurité. On peut parler aussi du révisionnisme japonais dans son éducation nationale au sujet de faits de guerre, qui nourrit un fort nationalisme.

Nous relayons les informations des médias en contrebalançant par l'apport d'internet. Mais nous avons besoin de temps pour nous informer et croiser ces informations. Ce qui nous fait souvent défaut. Nous prenons alors pour argent comptant ce qu'on nous dit, malgré les réserves qu'on puisse émettre.
L'ensemble des problèmes actuels sont construits de toute pièce. Toutes nos institutions périclitent délibérément : sécurité, santé, éducation... Par le biais de ma mère enseignante, je constate ô combien on laisse le système s'écrouler avec mauvaise foi et hypocrisie. Le milieu hospitaliser ne peut plus répondre correctement aux besoins. Les vieux y vont souvent pour mourir (problème social et institutionnel). On soigne le mal et on laisse le patient mourir par l'impossibilité de lui prodiguer l'attention requise durant l'hospitalisation. La police n'est plus soutenue par sa hiérarchie (comme dans la santé et l'éducation) dans le travail qu'elle est sensée faire. Je me souviens d'un policier qui me disait qu'il ne pouvait rien faire pour endiguer l'essor du trafic près de chez moi. Jamais de patrouille en dix ans alors qu'ils étaient au courant. Aucune action de dissuasion. Peur du dérapage. Le dérapage était de laisser la situation s'envenimer ainsi. L'impunité démagogique est la porte ouverte à tous les abus.

Quant aux indignés, j'ai peur que le mouvement ne soit instrumentalisé. Une petite enquête concernant un site internet censé parler en leur nom dévoilait une employée de Bank of America... Le contrôle des médias est la clé de voûte d'une histoire qui se construit et se raconte au jour le jour. Susciter des idées puis des actions. Notre démocratie n'en a que le nom et certains rêvent de l'effacer à jamais. Elle est un échec délibéré qui veut nous faire la leçon. Laissez le pouvoir de décision aux gens compétents. Nous cracherons sur la tombe de la démocratie avant de nous entre-tuer dans une crise qui n'aurait jamais du voir le jour ainsi. Accablés et démunis, nous nous livrerons à un système totalitaire qui ne voudra que notre bien... et nous le croirons car il n'y aura plus d'alternative.

Bien, bien, bien. Voilà ce qu'on veut nous faire croire. Tous ces gens de la finance ne m'inspirent rien. Qu'inspiront-ils à l'Humanité ? Ils doivent se dire que c'est mieux ainsi. Il faut bien diriger l'évolution du monde de façon organisée et disciplinée. Si on laisse la liberté au peuple, et qu'on le laisse croître indéfiniment, il y aura des guerres inévitables, des conflits d'intérêt ingérables. La manipulation des masses a des limites dans une trop grande liberté. Qui sont-ils pour avoir le droit de vie et de mort sur l'ensemble de la population ? La mascarade Bush, Rockefeller, Rotschild et tant d'autres, a-t-elle un sens ? Ils n'ont rien d'héroïque ou de messianique. Leur vision opportuniste et cynique du monde est réductrice et dangereuse.

Tout le monde savait que c’était impossible. Un imbécile, qui ne le savait pas, l’a fait.

"Attaché à de hautes responsabilités dans un pays divisé, enclin aux inégalités sociales et à un relâchement des mœurs, Confucius applique avec succès de nombreuses réformes et parvient, selon la tradition, à rétablir l'ordre et à faire régner la justice.Confucius considère, en effet, qu'il incombe à tout gouvernant de développer en lui sagesse et Amour pour faire passer le bien-être de ses sujets avant le sien : condition indispensable pour que les autres suivent son exemple et soient eux-mêmes instigateurs de prospérité et de bonheur. Cela leur demande de reconnaître et de respecter un guide, autrement dit, de suivre un sens spirituel indispensable à leur évolution. C'est uniquement dans cet esprit que Maître K'ong préconise le respect de l'ordre familial et, sur le plan politique, l'établissement et le respect d'un gouvernant paternel, à la vie exemplaire, connaissant la « volonté du ciel » et ne faisant qu'un avec elle."

Dans ce documentaire on voit clairement l'établissement de stratégies précises. Les nations doivent disparaître au profit de firmes privées dirigées par une poignée d'hommes. La dissolution du pouvoir de l'Etat et l'aliénation des masses.

Alors, pourquoi tant de haine ? Tant de souffrance, de tortures, de morts... Papy Bush le dit : pour avoir le pouvoir de faire régner leurs lois, leurs règles du jeu, maintenir un ordre et une paix selon leurs critères. Quelques qu'en soient les moyens apparemment.

Les USA sont d'habiles opportunistes qui n'ont pas hésité à récupérer le génie nazi après la Seconde Guerre Mondiale. L'opération Paperclip leur a permis d'obtenir de nouvelles technologies et des outils avancés en psychologie de manipulation des masses populaires. Le peuple américain en paie les frais directement, et nous aussi par la même occasion. On leur doit une belle percée en mal bouffe et ogm.




Essayons d'aller plus loin que juste la quête de sousous et de pouvoir, bien que je ne leur prête pas une grandeur d'âme suffisante à cela. Disons qu'ils ont dû réfléchir un peu pour se garder une caution morale destinée à justifier leurs actes... ou pas.

Je vais me faire l'avocat du diable. Si nos gouvernements étaient dirigés par des hommes d'idéaux qui souhaiteraient le bien être de tous, nous pourrions arriver à une impasse démographique.
La liberté des uns va souvent à l'encontre de la liberté des autres. Il suffit de voir les querelles de voisinage inévitables en milieu dense. Une fête trop bruyante, des conflits d'intérêt...
Une société heureuse et épanouie verrait sa population exploser. Bien que l'on trouverait des moyens pour combler les demandes vitales exponentielles, on atteindrait une impasse d'exploitation qui limiterait le progrès et aboutirait à une saturation implosive.

Leur nouvel ordre mondial, tel qu'il se présente, s'instaurerait après une grosse crise planétaire qui réduirait grandement la population mondiale. Crise artificielle ou naturelle, ou la combinaison des deux, n'a pas d'importance. S'étant prémunis de cela, ils pourraient asservir très aisément les populations errant dans le chaos et la misère. L'infrastructure militaire tiendra cent fois mieux, surtout si elle a anticipé le coup, que de pauvres citoyens divisés, dépendants et impotents. Diviser pour mieux régner.

Sautons toute cette étape désagréable, et obscure dans ses détails, et allons à la conclusion. Le nouvel ordre mondial est là, les populations sont réduites, asservies, et dociles. Fantastique ! Les boss trinquent et les affaires reprennent. Une Humanité organisée qui va dans une direction unique. Mais laquelle ? Ferons-nous un jardin d'Eden sous les ordres de gens immoraux qui n'ont jamais rien respecté ? Ce futur sera-t-il à l'image des industriels qui ont contraint la nature à une abomination productive ? Un monde peuplé d'esclaves et de bétail ?
Meuh non ! Bien que les méthodes employées pour arriver à cette domination totale étaient ignobles, leurs intentions étaient sûrement bien plus nobles. Avec une population enfin régulée et conditionnable, ils feront les meilleures écoles qui soient après avoir éradiqué les précédentes.
Seront-elles à l'image des meilleures écoles d'aujourd'hui ? L'élite qui en sort, bien gonflée de sa propre suffisance, a-t-elle eu une éducation humaine et respectable ?
Des gens efficients à la spiritualité morte. Quels idéaux insuffleraient-ils au monde ? Le nouvel ordre mondial ne vaudra même pas un nouveau Versailles. La culture sera fossilisée avec la domestication forcée de l'Humanité. Il faudra attendre une nouvelle génération de nobliaux qui se révoltera contre une condition humaine inacceptable. Un siècle des Lumières qui redécouvrira les valeurs perdues et piétinées par leurs ancêtres... Je plaisante bien sûr, les enfants de ces maîtres du monde seront bien éduqués dans une vision du monde étriquée à un entendement aussi pragmatique que vain.

Ils méprisent le potentiel humain et ont une vision réduite du futur. Nos enfants ne méritent pas ça, nos ancêtres ne voulaient pas ça. Et nous, qu'insufflons-nous à ce futur ? Certains se révoltent, d'autres se résignent, d'autres s'aveuglent, d'autres ignorent tout.

Prendre conscience est une étape essentielle. Et après ? Je ne sais pas. Une révolution avec des leaders improvisés, ou une révolution anarchique sans leader... Anonymous, V pour Vendetta ? On fait sauter les symboles d'oppression. On s'embrasse, on fait la fête, on pille, on s'entre-tue. Oui, ça arrive, c'est voulu, c'est recherché. Sans argent, sans organisation, on ne plantera pas des choux dans les rues de Paris. En 1789, le monde n'était pas mondialisé, il y avait des organisations locales auto-suffisantes. Le monde d'aujourd'hui s'alimente par le biais d'un complexe réseau logistique planétaire régi par une finance omnipotente. La masse révolutionnaire divisée dans ses opinions, sa culture et ses aspirations, n'obtiendra aucun consensus démocratique sans leader incarnant un idéal commun. Il y aura une marche arrière inévitable avec un mouvement national qui pourrait être récupéré aisément. Une révolution peut en cacher une autre. Le pouvoir militaire, le pouvoir de désinformation, sont aux mains des gens d'argent. Eltsine, Pinochet et tant d'autres, financés et placés par des autorités supérieures. Ils se disaient représentatifs d'un mouvement. A part un peu de contestation, des groupes isolés de citoyens ne peuvent pas lutter et tout le monde se laisse berner. L'Afrique connaît bien ce mal.

Alors on ne fait rien ? Mais si, on va sortir nos fourches et crier dans la rue. On y sera poussé. Personnellement, je crois en une destinée humaine qui dépassera le triste constat d'aujourd'hui. Les premiers changements doivent avoir lieu en notre âme et conscience. Nous nous changerons et nous changerons le monde, d'une manière ou d'une autre. La vérité d'une lumière universelle ne peut être contenue à jamais. Apprendre à être sincère et responsable, à son échelle. On ne répand pas toujours joie et amour autour de soi, mais des actions sincères et désintéressées y contribuent. Se connaître soi et ses intentions. Les pensées font les actions, et les actions font les pensées. Elles sont indissociables. On se définit et on se redéfinit sans cesse. Tels des athlètes, nous avons à répéter nos gestes jusqu'à tendre au meilleur de nos performances et au-delà. Il y a des hauts, il y a des bas, mais l'évolution suit son cours.
‎"que chacun se connaisse, lui et son tempérament, et qu'il ait le courage d'affirmer ce qu'il est. Ce n'est que lorsqu'un individu existe selon le mode qui lui est propre qu'il est responsable et susceptible d'une saine activité ; sans cela il n'est qu'un pâle suiveur, un être qui emboîte le pas et demeure dépourvu de personnalité propre." Carl Gustav Jung
On nous raconte la messe depuis des éons. On a renié nos héritages au nom de consensus idéologiques. Ce que pouvait nous raconter Tatie Jeanine sur ses expériences en phénomènes étranges est rangé dans le profond tiroir des superstitions et des élucubrations. Le prêt à penser est rassurant. J'ai failli renier mes propres expériences personnelles pour rester dans le moule des gens qui ne croient ni aux fantômes ni à toutes ces sornettes. Un phénomène violent de poltergeist m'a vite ramené à la "raison".

Ce qu'on regroupe sous le terme de paranormal n'est pris au ridicule que chez nos porte-paroles. L'Eglise est la seule apte à juger. Elle trie les miracles et entretient la superstition de ses saints. Les gouvernements s'occupent d'analyser en secret ce qui pourrait leur être utile, notamment en espionnage et contre-espionnage.


On nous répète les choses jusqu'à ce qu'elles deviennent paroles d’Évangile. Nous subissons un tel matraquage de désinformation médiatique. Sous prétexte religieux ou de défense patriotique, les peuples sont engagés dans des guerres dont les véritables enjeux sont tenus secrets.
On pense aussitôt aux guerres en Irak. Voilà de belles guerres opportunistes pour la famille Bush. Protégeons la patrie d'un vil Saddam aux armes de destruction massive... fantômes, à l'autre bout du monde. Au final, on s'est bien accommodé de ce gros mensonge. Même les américains sont ravis d'avoir une cause à défendre contre des ennemis bien tangibles. On s'étonne que l'armée américaine s'acoquine avec des mercenaires. Ne sont-ce pas tous des mercenaires au seul service des Bush ? En d'autres temps, on était prêt à s'aligner en première ligne sur les champs de bataille pour le bon vouloir d'un roi. Les temps n'ont pas tellement changé. L'enrobage est juste différent.

Chez nous, en Europe, on suit ces péripéties capitalistes qui devraient nous concerner davantage, du moins géographiquement. Go Afghanistan, go Irak. Une belle Europe forte et indépendante.
Pensons à notre Europe économique construite sur de nobles idéaux. Laissons parler Monsieur Jean Gabin à ce sujet :




Voyons où se place le contrôle des médias qui permet le contrôle des foules et des opinions.



Retenez le nom de Noam Chomsky si vous vous intéressez au sujet.

On voit apparaître le nom des Rothschild. Je ne m’appesantirai pas sur eux ou les Rockefeller. Ces noms ne m'inspirent rien. Ils synthétisent des bouc-émissaires et amalgames faciles. Toutefois, on ne peut se permettre de les omettre dans l'agencement de l'échiquier mondial.
Dans le passé, alors qu'ils finançaient les Etats en guerre, les Rothschild auraient acheté l'Angleterre durant la bataille de Waterloo en faisant croire que Napoléon avait gagné.



« Depuis l’époque des Spartacus, Weishaupt, Karl Marx, Trotski, Belacoon, Rosa Luxembourg et Ema Goldman, cette conspiration mondiale a connu une croissance constante. Cette conspiration a joué un rôle décisif et identifiable dans la Révolution Française. Elle a été le berceau de tous les mouvements subversifs pendant le 19e siècle. Et finalement, ce groupe de personnalités extraordinaires du monde secret des grandes villes d’Europe et d’Amérique ont saisi le peuple Russe par les cheveux, et sont maintenant devenus les maîtres incontestables de cet énorme empire. »

Winston Churchill (1874-1965), Premier Ministre de la Grande-Bretagne de 1940 à 1945 et de 1951 à 1955, cité dans le London Press, en 1922

La guerre du pétrole, les guerres énergétiques. Nous n'avons pas le choix, c'est ainsi. Notre dépendance nous pousse à des extrémités fâcheuses. Surtout pour tous ces peuples avides de consommation... Oui, nous sommes fautifs, vous et moi. Nous alimentons cette économie, nous la louons, nous l'adorons... Sentons-nous coupables pour toute la misère que nous engendrons. Tous ces supermarchés remplis à rabord de plastiques, et de nourriture prête à être jetée dès que nous avons le dos tourné et le caddie rempli. Dès la naissance, nous noyons le monde de nos couche-culottes hors de prix et non biodégradables ! Nos excréments entraînent la création d'armes chimiques de destruction massive ! Pfff, quelle vaste blague...

Les technologies alternatives existent. Du carburant à partir d'algues, des moteurs à vapeur, ou je ne sais quoi qui ne nécessite aucune ressource particulière. Si on utilisait que de l'eau ou des générateurs à la Tesla, nos pauvres lobbies pétroliers, nucléaires et tous leurs copains devraient se reconvertir avec l'aide de leurs maigres capitaux. Que pourraient-ils acheter ? Un peu d'immobilier, quelques investissements politiques... Oh wait !

Il suffit de voir ce reportage sur la mort de l'automobile électrique par General Motors. Un témoignage clair et édifiant :


La voiture électrique fiable et grand public a existé dès 1996 avec des technologies encore préhistoriques. Sans compter les voitures électriques du début du siècle... Les pauvres constructeurs, c'est la crise, il faut les aider à développer des technologies pleines de biodiesel ou d'autres choses alambiquées.

Une voiture à vapeur de 1900 :


On n'a pas fait mieux depuis lors. C'était le bon temps...

En poursuivant la question de technologies cachées, rejoignons le point Godwin, parlons d'UFO. Les nazis ont fait de la "crypto-archéologie" en Inde et au Tibet. Ils ont rapporté des plans se rapprochant de soucoupes volantes antiques, notamment inspirés du Mahâbhârata, les vimanas ou chars volants.

Alors, de là à dire qu'ils ont réussi à en créer des vraies soucoupes en s'inspirant de ces plans rudimentaires antédiluviens, je ne sais. Le prochain film d'Hollywood va d'ailleurs s'en amuser.


Des prototypes auraient pu être conçus avec l'aide de Viktor Schauberger.
Le moteur à implosion de Schauberger était un moteur rotatif et à propulsion par générateur autonome sans alimentation par combustion, l'exact contraire du moteur à explosion. Viktor Schauberger était un défenseur de "l'implosion au lieu de l'explosion", il rejetait le moteur à explosion car il soutenait qu'il contredisait les lois naturelles, étant donné que c'est un phénomène destructeur. Le moteur fut développé durant la Seconde Guerre mondiale par leTroisième Reich. Il comportait un circuit fermé avec un mélange d'eau et d'air, mu par un moteur électrique fourni par l'aviation allemande et il atteignait 20 000 tours par minute. Le modèle A fut mis en marche sans l'autorisation de Schauberger, les amarres le retenant se rompirent, faisant s'écraser et se détruire l'engin contre le toit du hangar. Se basant sur la résistance des vis, Schauberger estima la force ascensionnelle à 228 tonnes. Ce moteur à implosion faisait diminuer la température au centre, en violation des principes de la thermodynamique. Cette technologie donna naissance aux projets d'ailes lenticulaires (Flugscheiben) du régime nazi : les Haunebu et les Vril, dont il n'aurait subsisté que des photographies. A cette période, Schauberger se lia d'amitié avec Werner von BraunFélix Ehrenhaft l'aida à réaliser des calculs destinés à la réalisation de son moteur.
Notre cher ami Von Braun (Créateur des V2 allemands puis des fusées américaines) a déclaré en 1959 :
"Nous sommes confrontés à des puissances de très loin supérieures à tout ce que nous supposions jusqu'ici, et qui nous sont inconnues. Je ne peux en dire plus pour le moment. Nous sommes maintenant sur le point d'entrer en contact avec ces puissances, et d'ici 6 ou 9 mois, il devrait être possible de parler plus précisément à ce sujet."
Dr Hermann Oberth, l’un des pères des fusées, en 1960:
«Les OVNI sont conçus et dirigés par des êtres de la plus haute intelligence, et sont propulsés par distorsion du champ gravitationnel, convertissant la gravité en énergie. Il n’y a aucun doute dans mon esprit que ces objets soient des sortes de vaisseaux interplanétaires. Mes collègues et moi sommes persuadés qu’ils ne sont pas originaires du système solaire, mais peut-être utilisent-ils Mars ou un autre corps céleste comme poste avancé.
Ils ne sont probablement pas originaires du système solaire, ni même peut-être de notre galaxie. Nous ne pouvons pas nous prévaloir des avancées scientifiques dans certains domaines. On nous a aidés.»
Deux déclarations parmi tant d'autres. Il y a l'affaire récente de ce jeune hacker anglais Gary McKinnon qui a été poursuivi pour effraction dans les réseaux informatiques de la NASA et de l’armée américaine.
Gary McKinnon dit : "J’étais à la recherche d’éléments d’une technologie qu’on laisse au placard, désignée par moquerie sous le nom de technologie Ovni. Je pense que c’est le secret le mieux gardé au monde en raison de sa charge de dérision, mais c’est une chose très importante. Les retraités ne peuvent pas payer leurs factures de carburant, des pays sont envahis pour que des nations occidentales s’attribuent des contrats pétroliers, et pendant ce temps des membres du gouvernement secret dissimulent des technologies concernant l’énergie libre."
Il aurait trouvé, entre autres une photo d'ovni et un service complet de retouches d'images, mention de noms étant : le USSS LeMay et le USSS Hillenkoetter. Habituellement les vaisseaux de la Navy ne comprennent que deux "S" pour signifier "United States Ship", cependant nous avons trois "S", ce qui signifierait "United States Space Ships".

Pourquoi pas. Depuis 1969 et l'alunissage présumé, il n'y a plus vraiment de programmes spatiaux ambitieux. Ils auraient développé de vrais vaisseaux et n'auraient plus besoin du folklore de la conquête spatiale en fusée. Où sont les photos en haute définition de la surface de la Lune et de Mars ? On devrait avoir au moins un Google Moon aussi précis que la Terre, et pas cette surface floue de la surface. On se croirait encore dans les années 60. Il n'y a rien à cacher sur la Lune, non ?



"Avançons une explication plus simple, et de bon sens, mais avec très peu de chance de forcer la porte du scepticisme : nous n’y sommes pas retournés pour la bonne et simple raison que nous n’y serions jamais allés ? À ce propos, une expertise avait montré en 2009 qu'un morceau de roche lunaire, donné en 1969 par la NASA au Premier Ministre des Pays-Bas, Willem Drees, était un faux : « La NASA n'a pas d'explication  » [BBC 28 août 2009 “Fake Dutch 'moon rock' revealed“]… Et vous ? Pas plus que la NASA ne sait dans quel sanibroyeur sont passées les archives photographiques du Programme Apollo, perdues faute de place. On y croit une seconde !"

La face cachée de la Lune. Nous ne la voyons pas, mais nous l'imaginons. La NASA nous la montre bien gentiment. Rien à voir, circulez. Jusqu'à maintenant, je vous mène d'un délire à l'autre. Des on-dits, des rumeurs, tant de choses discutables venues de sources parfois limites. Pas facile de réfléchir par soi-même avec tant d'informations diverses. J'imagine que la plupart d'entre vous ont lu cet article avec une intime conviction préalable. Il ne faut pas prêter une confiance aveugle, ou une défiance bornée, à chacun des éléments cités. Ils définissent une vue d'ensemble délimitant une logique systémique.
Comment prêter crédit à des voyous notoires ? Que ce soit la NASA, le gouvernement US, l'Eglise, et compagnie, ils nous ont tous menti effrontément à un moment ou à un autre. Sans tomber dans une paranoïa excessive, la méfiance est de rigueur. Je ne vois pas en quoi nos régimes démocratiques oeuvrent pour l'épanouissement de leurs nations, à part l'exception de quelques initiatives d'individus isolés. Ils gardent le bétail.


Ce documentaire offre matière aux réflexions et aux extrapolations, pour ceux dont l'existence d'esprits et leur influence ne rebutent pas. Il se termine sur la supputation que les sorciers d'Elisabeth Ier, dont John Dee, l'auraient engagé sur une idée d'un gouvernement mondial qui aurait commencé par la domination des Etats-Unis et de l'Inde. Ces sorciers lui aurait transmis les directives des esprits avec qui ils communiquaient.
Mais pourquoi s'acoquiner avec des esprits démoniaques ? On y parle des rites d'innombrables sociétés secrètes, allant des Templiers au Skull & Bones des vils Bush.
Personnellement, il m'est arrivé une fois de communiquer avec une entité intelligente qui avait des informations à faire connaître. Tout ceci reste de l'ordre du subtil mais certaines informations étaient probantes. Je ne suis pas allé plus loin qu'une simple expérience, mais je sais que c'est envisageable. Mais à quoi cela rime-t-il ? Juste pour avoir le pouvoir ?
Dans l'absolu, il n'y aurait bien que des démons qui aideraient de pauvres humains à cela...

Il existe tout un salamalec entre des maîtres du monde satanistes, des extraterrestres, et des esprits pas vraiment bienveillants...

Réfléchissez à tout ce dont je vous ai parlé au sujet des pouvoirs de l'esprit, dans les articles précédents. Nous construisons et influençons notre réalité selon nos pensées. Dès le plus jeune âge on nous conditionne à une vision du monde, à une histoire du monde, à notre histoire. Nous sommes déconnecté de nos ancêtres et de notre spiritualité. Nous devons redevenir responsables et conscients de nous-mêmes.



« Pour mettre en place un gouvernement mondial, il est nécéssaire de retirer des esprits leur individualisme, leur loyalité aux traditions familiales, leur patriotisme national, et leurs dogmes religieux. »

George Brock Chisholm (1896-1971), ex-directeur de l’Organisation Mondiale de la Santé


La question n'est plus "Qu'est-ce que veulent ces maîtres du monde ?" ou "Qui sont les maîtres du monde ?". Ces gens, ces familles ont pactisé avec le diable en échange du pouvoir. Ces diables sont des esprits puissants, certes. Ils agissent dans le subtil avec d'efficaces effets papillons et l'aide de leurs dévoués subordonnés. Ils existent depuis des temps immémoriaux. Que veulent-ils, qui sont-ils ? Ma foi...
Ils réduisent la conscience humaine. On nous met des oeillères comme pour des chevaux. Les animaux domestiques sont en adoration pour leurs maîtres. Ces esprits aspirent-ils à plus de pouvoir et de liberté par notre intermédiaire ? Que veut un éleveur en domestiquant les bêtes ? De la nourriture, des outils vivants. Il promet la sécurité en échange de la soumission. Notre soumission est utile à d'autres. Je suis le fruit de cet élevage social. Notre travail est utile à ce système sécurisant.
Le tissu social se délite rapidement. Les noyaux familiaux sont de moins en moins soudés et de plus en plus éparses. Diviser pour mieux régner. Un élevage industriel en batterie. Des bêtes sans passé ni futur. On nous nourrit de la misère des autres. Nous sommes engraissés dans une doctrine aux murs épais. Notre univers est réduit à un espace bien délimité, bien cloisonné. La science du visible. Que dire de l'extérieur invisible à nos yeux ? Notre conscience est accaparée par les seuls plaisirs mis à disposition. La culture se démocratise unilatéralement et s'étiole dans un marasme frénétique.
Que pensez-vous qu'il arrive à une essence immortelle ainsi confrontée à une existence aussi séparée de ce qui la fait naître ? A son décès, elle peut rester une âme errante, hantant les lieux de son incarnation passée, inconsciente de sa condition, incapable de se libérer d'un souvenir et de s'ouvrir à l'infini.

Certains n'oublient pas leurs ancêtres. Les liens de parenté plus ou moins lointains entre membres influents de la société et entre les présidents américains eux-mêmes sont étonnants. Obama, un cousin de Bush ?
http://maisonblanche.blog.tdg.ch/archive/2008/03/26/obama-mon-cousin-george-bush.html

Existerait-t-il de tels liens de parentés entre nos propres présidents ?


Une idée des liens de sang entre les différentes entreprises du cac 40 :
http://www.alternatives-economiques.fr/fic_bdd/article_pdf_fichier/1274372604_cac40_3.swf

On commence à attaquer du lourd. On tombe chez les extrémistes conspirationnistes. Avez-vous ce sentiment de déraper, comme un fumeur occasionnel qui passe au stade de junky accro au crack ? Pas vraiment ?

Passons à un visage plus scabreux de cette sombre histoire.
http://lesactualitesdudroit.20minutes-blogs.fr/archive/2012/04/03/goldman-sachs-finance-la-prostitution-des-mineures.html

Certains people racontent des histoires bien étranges, comme Yves Saint-Laurent dans sa seule et unique bande dessinée « La vilaine Lulu ».
Une enfant nommée Lulu est pervertie par une bande de pédophiles satanistes, et enchaînent les horreurs jusqu'à être élue Pape. Pédophilie, meurtres, sacrifices humains, tortures, tout un programme ! Conseillé aux enfants... Au début de l'ouvrage, Yves Saint-Laurent s'amuse à préciser que l'histoire est inspirée de faits réels. Que penser de cette comptine à la satyre glauque et cruelle ? Est-ce une forme de dénonciation ?

On entre alors dans une perspective encore plus écœurante d'un réseau pédophile d'élites aux rites sataniques. Vu de loin, il pourrait y avoir de quoi sourire à la mention d'une telle folie généralisée. Encore des affabulations conspirationnistes étayées par des on-dit ?
L'affaire Dutroux supputait un réseau organisé et influent, avec de nombreuses zones d'ombre. Récemment, Luc Ferry a été remis à l'ordre, lorsqu'il s'est permis de dénoncer les mœurs d'un homme politique connu et reconnu en pleine émission télévisée. Quelle est l'étendue de ces mœurs dissolues et quelle proportion d'individus concerne-t-elle ? Cela ne semble pas s'arrêter aux faits divers et à quelques tordus anonymes.
De nombreuses enquêtes et témoignages renvoient à des faits graves condamnant des personnes médiatiques. Sur la vidéo ci-dessus vous y voyez la dénonciation du célèbre animateur de talkshows Larry King, et d'autres comparses qui éclaboussaient jusqu'à la Maison Blanche. Ceci avec la complicité d'un orphelinat qui approvisionnait leurs sinistres débauches. Évidemment, nous n'avons pas à prendre pour argent comptant toutes les rumeurs qui circulent, mais l'ensemble des informations rassemblées, souvent omises et non recoupées, signalent une volonté d'escamotage judiciaire d'une partie de ces affaires difficiles.


Pour suivre l'actualité apocalyptique, à quoi se prépare le gouvernement US ? Ces histoires de camps FEMA et ces cercueils par millions ne présagent rien de bon. La communication à ce sujet est lacunaire et floue.




« Nous sommes devenus un des moins bien dirigé, un des plus entièrement contrôlé et dominé des Gouvernements du monde, non plus un gouvernement de libre opinion, non plus un gouvernement par conviction et vote de la majorité, mais un gouvernement par l’opinion et la coercition d’un petit groupe d’hommes dominants. »

Woodrow Wilson (1856-1924), 28e président américain


Et que penser de cet observatoire nommé Lucifer construit aux US par l'Eglise de Rome ? Est-ce une blague de joyeux lurons ? Pourquoi un observatoire maintenant, et sous ce nom sulfureux ? Porteur de lumière, je veux bien, mais quand même...
"Il reste que je ne crois pas très subtil, en matière de communication, de nommer une réalisation vaticane Lucifer."

Que voulez-vous comprendre quand on ne connaît pas la vraie histoire passée ? Connaître son histoire permet de définir son avenir, en connaissance des enjeux passés et à venir. Nous sommes maintenus dans l'ignorance qui nous empêche de nous forger une conviction et une attitude adaptée aux réalités du monde. On nous conditionne à une réalité.
Toute vérité n'est pas bonne à dire. Mais qu'est-ce qui nous pousserait à faire confiance à tous ces bonimenteurs satanistes s'enrichissant des guerres et de la misère ? Ils nous empoisonnent, nous poussent à nous entre-tuer, abusent des enfants, et nous vendent un monde défiguré dont on porterait la seule responsabilité de notre surpopulation avide de satisfaction éphémère. Nous votons, nous avons choisi nos élus, notre destin, notre fatalité. L'illusion démocratique, la dette infinie, l'esclavage consenti.
La chasse aux sorcières se prépare. Une paranoïa vindicative digne de la terreur révolutionnaire. A mort les aristocrates, les technocrates, les ronds de cuir ! Les prétendus coupables ne sont que des pions remplaçables. Des valets qui vivent de la bienveillance de maîtres dont ils peuvent jusqu'à ignorer l'existence. Il suffit de voir les déclarations de différents chefs d'état et de leurs tragiques destins. Sous couvert de la vertu de certains, le vice couve et se déploie. Certains résistent mais ils sont peu nombreux et le temps joue en leur défaveur. Pas de mandats ou de limites d'âge pour les gens de l'ombre. Des snipers invisibles. Un chef d'état est une cible rêvée pour des attentats divers et variés.
Il y a des gens bien placés et de bonne volonté. Mais de quoi ont-ils vraiment conscience ? Je parlais à un ancien franc-maçon des dérives décisionnelles dans les sphères cachées. Lui-même n'avait débattu que de sujets périphériques sans grande conséquence sociale ou économique. Pourtant, avec sa multitude de courants divers et le nombre de ses membres, la franc-maçonnerie peut être une porte à ces comités d'élite. Mais quelle élite ? Si des présidents américains, maîtres du monde, en viennent à découvrir une certaine réalité au cours de leur mandat...

"La direction du Bureau du Président a été utilisée pour fomenter un complot pour anéantir la liberté des Américains, et avant que je ne quitte le Bureau, je dois informer les citoyens de ces conditions."
Président John Fitzgerald Kennedy (1917-1963), dans un discours fait à l'Université Columbia le 12 novembre 1963, dix jours avant son assassinat




« Des centaines de milliards de dollars sont dépensés chaque année pour contrôler l’opinion publique. »

Noam Chomsky, professeur et auteur américain



Une aussi grande confrérie que la franc-maçonnerie regroupe tout type d'individu, quels que soient leurs titres obscurs ou le prestige de leur loge. L'habit ne fait pas le moine, et le savoir n'offre pas la sagesse. La sagesse s'apprend-elle dans les livres ? Des gens décident quels savoirs divulguer. Au nom de quoi ? De leur propre sagesse intérieure ? L'endoctrinement scientiste a assez duré. Même nos propres familles n'ont pas à décider de ce qu'on doit dire ou penser. Les consensus montés de toute pièce et l'histoire pré-mâchée à la saveur artificielle, non merci. Avons-nous les moyens de vérifier tout ce qu'on nous raconte ? Non, il est nécessaire de faire confiance. Mais à qui fait-on confiance et au nom de quoi ? On délègue des secteurs d'expertise dans un contexte politico-économique désastreux.

« Divers groupes oeuvrent dans l’ombre depuis des siècles. S’ils s’enveloppent d’un tel secret, c’est que leurs motivations ne sont pas claires. »

Albert Pike (1809-1891), auteur et idéologue américain, Maçon 33º et icône de la franc-maçonnerie.




Prenons le cas de l'élection des délégués de classe. On laisse cette corvée aux moins pires qui se présentent. Sont-ils les meilleurs représentants de la classe ? Non, pourtant ils sont élus démocratiquement.
Quelles sont les motivations à s'engager politiquement ? Pour réussir dans un panier de crabes, il vaut mieux être un crabe. Peu de politiques influents et honnêtes parviennent à sortir du lot. Pourquoi les autres crabes soutiendraient-ils quelqu'un qui n'irait pas dans leur sens ? Les élus se doivent d'être malléables et serviables. Comme les journalistes. Un journaliste, pour réussir, doit se vendre. S'il s'aligne à ce qu'on lui demande, il ira loin. Quelle personnalité honnête et sincère arriverait à passer ce filtre en trompant tous ces margoulins sans foi ni loi durant des années ? Un pape l'a fait. Plus malin, plus fourbe. Il s'était fait passer pour un vieux sénile durant des années jusqu'à l'élection d'un pape de transition qu'on voulait proche de la mort et impotent. Il semblait le meilleur choix. Sa duplicité fonctionna à merveille et il déploya force et vigueur dès son intronisation.
« Il n’existe pas, à ce jour, en Amérique, de presse libre et indépendante. Vous le savez aussi bien que moi. Pas un seul parmi vous n’ose écrire ses opinions honnêtes et vous savez très bien que si vous le faites, elles ne seront pas publiées. On me paye un salaire pour que je ne publie pas mes opinions et nous savons tous que si nous nous aventurions à le faire, nous nous retrouverions à la rue illico. Le travail du journaliste est la destruction de la vérité, le mensonge patent, la perversion des faits et la manipulation de l’opinion au service des Puissances de l’Argent. Nous sommes les outils obéissants des Puissants et des Riches qui tirent les ficelles dans les coulisses. Nos talents, nos facultés et nos vies appartiennent à ces hommes. Nous sommes des prostituées de l’intellect. Tout cela, vous le savez aussi bien que moi ! »
À propos d'une citation de John Swinton, (et non Swayton) ancien rédacteur en chef du New York Times, lors d’un banquet, le 25 septembre 1880.
Quelle histoire raconterons-nous à nos enfants ? Quels détails omettrons-nous ? Quelle couleur aura-t-elle ? Quelle saveur ? Quelle intention mettrons-nous dans ce legs historique ? Nous orientons notre patrimoine culturel selon notre nature. Un athée égocentrique n'aura pas la même manière de raconter son histoire personnelle qu'un baba cool new age. Et qu'aura-t-on retenu de notre histoire ? Que nous aura-t-elle inspirée et qu'en voudra-t-on en dire ?
« Papa, raconte-moi le monde.
- Alors, il y a les gentils américains et les vilains terroristes. »
Non. Il demande de lui raconter une histoire, notre histoire. Nous avons un devoir de mémoire, de transmission de mémoire. Qu'est-ce qu'ont fait ses parents, ses ancêtres ? De quelle histoire est-il issu ? En quoi croyons-nous ? Des valeurs, pas juste des slogans politiques ou publicitaires. Nous avons à partager nos valeurs par l'exemplarité. Se présenter comme un fervent communiste, la main sur le cœur, alors qu'on vit à l'extrême opposé de ces valeurs, n'incitera son héritier qu'à vivre de la même manière, avec hypocrisie ou schizophrénie.

"L'éducation est un système d'ignorance imposée"
Noam Chomsky, professeur et auteur américain
On raconte plutôt une histoire. On va décrire son idéal, ses rêves, vers ce à quoi on aspire. Son père n'a peut-être pas toujours été le héros qu'il aurait voulu être, mais toutes les histoires qu'il aura pu vivre en compagnie de ses enfants, ou ce qu'il aura raconté, parleront pour lui. Vivez vos histoires, racontez vos histoires. Un souvenir ou une histoire n'a de valeur que dans le sens qu'on lui prête. Un sens digne, un sens agréable, un sens personnel. C'est notre relation à la réalité qui construit une histoire, notre histoire. Une réussite et un échec ne se différencient parfois que dans notre perception de l'histoire.
Est-on en accord avec notre intime conviction ? Nos successeurs en jugeront. Nous jugeons ces hypocrites issus d'un monde révolu qui veulent nous dicter notre conduite. Les enfants d'aujourd'hui seront les responsables de demain. Où se place le respect de nos ancêtres ? Nos aïeux disparaissent les uns après les autres et nous nous retrouvons sous le feu des projecteurs. A notre tour de jouer le spectacle sur la scène. Nous hésitons devant des fantômes invisibles. Nous gesticulons devant un public anonyme. Nous jouons le même rôle que nos parents, à danser en échange de quelque argent. Nos enfants nous regardent danser. Moi aussi, je serai danseur, comme mes parents. Un jour, ce sera mon tour. Il faut se préparer à prendre la relève. Qui a écrit la pièce ? Pour qui dansons-nous ? Divertir et raconter des histoires sont de belles choses, mais si c'est pour répéter des histoires qui ne nous plaisent pas ou jouer des rôles qui ne nous correspondent pas, pour décrire un monde affreux...
Qu'étions-nous avant d'être des danseurs ? Nos parents ne connaissaient que ça. Si tu travailles dur, tu danseras bien et tu plairas au public. Sinon quelqu'un d'autre prendra ta place. Quelle horreur ! La peur s'exprime. Nos parents s'inquiétaient pour leur place et la nôtre. Nous faisons de même. Il faut être le meilleur danseur, ou du moins un danseur qui sait conserver sa place. Nous avons une bonne place. Il suffit de regarder d'autres danseurs qui dansent 10 fois plus pour 10 fois moins. Quelle chance nous avons ! Il ne faudrait pas la perdre. La peur du pire, sans croire au meilleur. Soyons réalistes.
Une histoire réaliste ne devrait décrire que le strict nécessaire. Sans interprétation, les faits décrits ne se suffisent pas à eux-mêmes pour être une bonne histoire. Il faut savoir la raconter, lui donner un sens.
Danser parce qu'on a peur a-t-il un sens ? On peut aimer danser, on peut ne connaître que ça, mais on peut le vivre autrement.
Payer des impôts pour alimenter un gouvernement inutile et autoritaire n'a pas vraiment de sens. Le gouvernement est pourri depuis longtemps et à la solde de créanciers esclavagistes. Il n'y poussera plus rien de sain.



« Il est aussi dans l’intérêt d’un tyran de garder son peuple pauvre, pour qu’il ne puisse pas se protéger par les armes, et qu’il soit si occuppé à ses tâches quotidiennes qu’il n’aie pas le temps pour la rebellion. »

Aristote (384-322 A. J.-C.)



Travailler pour une entité anonyme qui exploite les hommes et la terre pour le seul profit de quelques idiots n'a pas de sens. Nous alimentons un système parasitaire qui nous dirige vers une fin inéluctable.



« Le gouvernement ne taxe pas pour obtenir l’argent dont il a besoin; le gouvernement trouve toujours un besoin pour l’argent qu’il reçoit. »

Ronald Reagan (1911-2004), 40e président américain

Je ne veux pas d'un futur à la Blade Runner dicté par des grandes firmes. Je me fous de toutes ces histoires d'illuminatis satanistes et de firmes empoisonneuses, loin de mon quotidien et de mes aspirations. Pourtant, je suis là, parmi vous, à exister dans un monde construit par ces histoires. Si ce n'était que notre survie qui était en jeu... Je dirai que c'est le salut de nos âmes. A vivre ainsi, dans une société pathologique, à devenir inconscients et coupés du monde vivant, nous réduisons notre état de conscience à un niveau plus bas encore que ces "élites" dénuées de coeur. Nous sommes à une transition importante. Voyez les enfants changer. Voyez le nivellement par le bas. Les enfants de ces enfants naîtront dans un monde sans repère, éduqués par ces firmes impersonnelles. Vous croyez qu'ils seront sauvés par delà la mort ? J'en doute, et je ne souhaite pas l'envisager.



"Il y a deux histoires: l'histoire officielle, menteuse, puis l'histoire secrète, où sont les véritables causes des évènements."

Honoré de Balzac





« Je crois à la vertu des petits peuples. Je crois à la vertu du petit nombre. Le monde sera sauvé par quelques-uns. »

André Gide (1869-1951), écrivain Français


« L’individu est handicapé en se retrouvant face à face avec une conspiration si monstrueuse, qu’il ne peut croire qu’elle existe. »

J. Edgar Hoover (1895-1972), Directeur du FBI de 1924 jusqu’à sa mort (Oui, c'est Leonardo en photo)

Avec cet article, je n'ai pas cherché l'exhaustivité ou à disserter en profondeur sur la véracité de chaque fait, mais à proposer le panorama troublant d'une histoire où se croisent et se recroisent nombre de protagonistes aux motivations douteuses.
J'étais moi-même réticent à m'informer sur ces histoires de conspirations, d'illuminati, de nouvel ordre mondial. Et je pense qu'on est encore loin de la vérité. Il y a à boire et à manger. Comme tout ce qui touche le paranormal.
Pourtant, les éléments d'information se sont multipliés devant moi, et il fallait bien que je les prenne en considération. Notre quotidien et notre futur sont attachés à cette histoire obscure qui influence notre cadre de vie.
Du poison de nos assiettes aux idées qu'on accepte comme vérité, nous sommes entraînés dans une spirale qui dicte nos existences.

Il est indispensable de concevoir nos vies autrement. Nous n'avons pas à nous résigner d'être dépossédés du monde et de nos vies. La prise de conscience individuelle est un préalable. A changer notre état d'esprit, nous agissons déjà dans le subtil pour élaborer le changement. L'esprit de création est en chacun de nous. Notre corps est un monde à part entière soumis à notre état d'esprit. L’interaction ne se limite pas à notre individualité.
Une cellule participe à la dynamique de son monde. Soyons les cellules d'un monde libre et vivant..

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