jeudi 1 juin 2017

On ne change pas une équipe qui perd

Les années passent et se ressemblent au-dessus de nos têtes. Les chemtrails deviennent la norme. Il paraît qu'il s'agit toujours de délires conspirationnistes.


Pourtant, même Chuck Norris a pris sa plume pour exprimer ses inquiétudes :
http://www.wnd.com/2016/04/sky-criminals/

"It’s time again to wake up, America. I’m not Shakespeare, but something is definitely rotten in the state of Denmark."


Il met ses pieds où il veut Chuck, et si ça pouvait être dans la gueule de certains...

A terre, l'agitation progresse, mollement, sans freiner le moins du monde les grilles qui se referment sur nous, inéluctablement.

Avons-nous assisté aux dernières élections ? Avons-nous abandonné l'idée de pouvoir agir ensemble ? L'espoir subsiste, évanescent, timide. Il suffirait d'un signe. Et pourtant, nous sentons les mailles se resserrer, lacérant nos chairs morales si conscientes du danger les éprouvant.


La 5G s'apprète à se déployer comme une ultime couche d'aliénation : http://lesmoutonsenrages.fr/2017/05/31/5g-le-reseau-de-controle-technologique-total-sinstalle-rapidement/

Macron parade tout à sa joie d'être le héraut d'une France sacrifiée sur l'autel de l'infamie.

La majorité populaire grogne, meugle et se résigne à son sort.

Les prochaines années seront décisives. A attendre que le ciel nous tombe sur la tête, on se résigne à la passivité, à l'attentisme, au fatalisme. Je crois au changement, mais je crois aussi à l'initiative. Une armée invisible se déploît autour de nous, en nous. Un régime totalitaire, des textes de loi, des OGM, de l'aluminium, du fluor, des nanotechnologies, des ondes électromagnétiques, un conditionnement abrutissant, une éducation subversive.

Nous prenons de l'âge, nous cumulons de nouveaux fers. Harassés socialement, économiquement, culturellement, chimiquement, électroniquement, le poids des ans ne sera bientôt plus à notre avantage. Le temps presse. Les jeunes générations ont été sévérement touchées, et les prochaines le seront davantage. A ce rythme, l'espoir se réduira comme peau de chagrin, les idées se tariront, les esprits s'éteindront, les ténèbres régneront. Il ne restera que stupeur et confusion, dans l'oubli d'un autre monde.

Je ne me suis pas rendu à la dernière réunion d'Etienne Chouard. Les initiatives pour des éco-villages, l'écriture d'une constitution, etc, c'est formidable, dans un monde non globalisé et totalitaire, si, comme d'irréductibles gaulois, ils avaient une potion magique pour les protéger des romains. Toute initiative locale est appelée à disparaître tôt ou tard. Toute tentative d'autonomie sera écartée. Entre la pollution des nappes phréatiques et la privatisation de l'eau, c'est l'impossibilité d'une survie quelconque en dehors du système en place. L'accès à la terre devient un privilège, l'existence même est conditionnée à une soumission aux règles en vigueur. Croire en une révolution pacifique, ou à survivre en communauté autonome, face à une mafia si structurée et bien installée, avec une population qui atteint un tel degré de désorientation, est une folie. Leur démarche est juste, mais nous devons empêcher l'ennemi d'agir. En l'ignorant, en abandonnant le terrain, en laissant la gestion de la France et du monde à ces monstres, nous leur laissons l'opportunité de nous porter un coup fatal. Il faut stopper leur force de nuisance, couper leurs membres avant qu'ils ne coupent ce qui reste de nos ailes. Agir localement oui, en des collectifs de municipalité dissidente, en se réappropriant le bien public, l'espace public, les terres et les ressources. Si la tête ne peut être coupée directement, il faut s'en prendre à ses tentacules.


Avant que tout ne soit blanchi, des chemtrails dans les cieux, aux cheveux sur nos têtes.

Ce qui était envisageable il y a quelques années est en passe de devenir un doux rêve. L'urgence se fait sentir. Ces armées invisibles se positionnent de plus en plus vite. La liberté que représente internet tend à se transformer en une prison redoutable. Il ne sera plus temps d'agir quand nous serons exténués, malades, confus et isolés. C'est une guerre qui nous est livrée, une guerre bien préparée qui n'attend que notre reddition spontanée. Cette fois, il ne s'agira pas de nazis, et nos alliés ne seront pas là pour nous sauver, bien au contraire. Il va falloir prendre des initiatives, risquées, en tête de front, à inciter les plus courageux, les plus téméraires, à se battre, pour sauver ce qui peut l'être, avant la nuit, fatidique et sombre. Si nous refusons de nous battre pour notre liberté, nous avons déjà perdu.

Aide-toi et le ciel t'aidera.

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